Que signifie ce 28 Février 2010, en réalité pas grand-chose sauf pour les joueurs du Paris Saint Germain et de l'Olympique de Marseille pour le classico ce soir au Parc. Alors que la tempête a balayé la France, on se lève et on voit les dégâts ... ou non, qu'a subit son jardin. Aucun chez moi, mais au dehors on sent le vent qui souffle et qui a reporté ce Mans-Bordeaux. On regarde les gens au dehors, le vent les emporte et les vols sont reportées ou très long à l'attente. Pas un jour de philosophie mais simplement un jour de match. Je suis entrain d'écrire alors que je repense à ses supporters parisiens qui sontprtis, alors que leur équipe est menée de trois buts et pourtant c'est bien eux qui faisaient le spectacle en première mi-temps. Un spectacle auquel il manquait une pointe d'efficacité en attaque face au but, malgré les bonnes occasions de Erding et Hoarau et pourtant c'est bien l'OM qui menait sur l'une des seules occasions qu'ils ont eu (2). Et là on retrouve un Marseille conquérant face au parisiens qui sont dominés et sûrement trop épuisé par leur domination sur la possession de balle en première mi-temps. 2 Buts encaissés sur des erreurs d'Edel peut être trop tôt sorti et une défense trop loin de son but et pourtant on la voit leur rage de vaincre alors que derrièe le but il y a eu ces personnes qui osent s'appeler supporter que les CRS évacue. Ses personnes se sont pas des supporters enfin si dans la mentalité française, une mentalité totalement différente en Allemagne et en Angleterre mais en France nos supporters confondent beaucoup de choses. En réalité c'est des parisiens malchanceux face au cage de Mandanda. En tribune, ses bleus qui demain rejoindront Clairefontaine tel que Ciani, Anelka et compagnie alors que les marseillais convoqué confirment en marquant des buts. On peut conclure sur les 10 premières secondes du match, qui furent 10 secondes de sifflets pour Heinze sur trois touches de balle de la tête.